Mike Weir se porte à merveille.
Le champion du Tournoi des Maîtres de 2003 connaît une bonne saison sur le Circuit des champions de la PGA. Il a déjà obtenu une victoire et a fini deuxième quatre fois.
Les dernières années de sa carrière sur le Circuit de la PGA ont été entachées par des blessures. Il s’est bien rétabli, même s’il admet qu’il ne sera plus jamais ç 100%. Il est en bonne santé au moment où il démarre sa carrière dans le golf pour les joueurs de plus de 50 ans.
Le golf lui a tant donné durant sa carrière, et il compte maintenant lui rendre la pareille.
quand même pris de son temps pour diriger un stage de formation pour juniors au Cottonwood Golf Club, près de Calfary.
«Avec l’âge, c’est bien de partager son savoir avec la jeune génération. Je m’amuse avec les enfants de cet âge, et j’espère qu’ils s’amusent aussi».
En début de journée, les jeunes golfeurs ont reçu des bâtons flambant neufs offerts par Golf Town. Ils ont joué avec ces mêmes bâtons plus tard.
Jessie Evans était très heureux de pouvoir recevoir des leçons d’un gagnant du Tournoi des Maîtres.
«C’est vraiment sympa! C’est une excellente opportunité d’être ici. En plus, j’ai reçu des bâtons gratuits. C’est super!»
En plus des bâtons gratuits et des leçons administrées par Weir, chaque jeune golfeur a reçu un abonnement au club Cottonwood afin de mieux préparer son avenir golfique.
En tant qu’ambassadeur de Golf Town, Weir est d’avis que des stages comme celui-ci sont importants pour le développement du golf. Il suffit simplement d’encourager les jeunes à sortir et jouer.
««Nous devons encourager les jeunes à sortir et jouer. Quand j’étais jeune, nous avions beaucoup de divertissements pendant l’été, le baseball par exemple. Les jeunes d’aujourd’hui se divertissent par le biais de jeux électroniques et ne sont pas toujours très actifs. Le golf leur permet de sortir pour jouer avec leurs amis, quel que soit leur niveau».
Weir se remémore son premier stage de formation à l’âge de 11 ans. Il ne se rappelle pas ce qui a été dit mot pout mot, mais il se souvient bien que le message était clair: s’amuser. 39 ans plus tard, le détenteur d’un Veston vert est d’avis que le même message est encore à propos.